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Femme qui lit le journal

La réponse de notre corps face à l’anxiété

Quand on pense à l’anxiété et au stress, nous pensons souvent aux signes physiques qui l’accompagnent comme les attaques de paniques, l’élévation du rythme cardiaque ou les palpitations, les tremblements, l’incapacité à se mouvoir, l’hyperventilation.

Ces symptômes sont causés par notre cerveau (encore lui alors) qui interprète une situation comme dangereuse. Parfois, nous réagissons à un réel danger dans une situation d'urgence. Parfois nous réagissons à quelque chose que nous percevons comme dangereux. Nous expérimenterons dans les deux cas la même réponse corporelle.

Quand notre cerveau perçoit un danger, notre corps va nous envoyer un de ses 4 types de réponses : la réaction combative (fight), la réaction inhibitive (freeze), la réaction d’évitement ou de fuite (flight) et la réaction du dévouement (fawn).

La réaction combattive nous pousse à agir de façon agressive verbalement ou physiquement. On interprète les postures de l’autre comme hostile.

La réaction d’évitement va nous pousser à fuir. La procrastination, l’impossibilité de se détendre ou une inquiétude excessive se mettent alors en place

La réaction inhibitive nous cloue sur place, on est incapable de réagir, comme une fenêtre figée sur un navigateur internet. On est alors en incapacité de s’exprimer, on se ressent une sorte de détachement de la réalité.

La réaction du dévouement va nous pousser à être excessivement gentil et arrangeant au détriment de nos propres besoins. On se sent déconnecter de nous-même et de nos besoins, on fait des compromis sur nos valeurs.

Il est important de comprendre ses mécanismes afin de mieux nous comprendre nous-même.
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